• La période estivale 2012 se termine par la visite des chantiers d'été. C'est presque une nouveauté en soi, puisque l'an dernier, les conseillers d'opposition avaient été "oubliés" d'être invités. Le nombre de travaux était pourtant de bon niveau, mais pas autant que cette année où les travaux sont un peu plus visibles. Le niveau atteint est redevenu "normal", contexte oblige...

    Si les réfections en tous genres ont été menées, il reste cependant un point particulier qu'il faut mener de toute urgence, pour ne pas laisser perdurer une situation de délabrement flagrant.

    Les Pisciacais n’ont pu que constater depuis plusieurs semaines l'état déplorable des feux rouges de la ville. Celui situé sur le chemin menant à la caserne des pompiers depuis le centre ne fonctionne plus depuis plusieurs mois. Dans le sens inverse, celui en bas de la rue descendant vers la prison, le long du cimetière, est sérieusement endommagé. À l'autre entrée de la ville, en venant par le pont de Carrières, un autre feu est "en rade". Un tour complet de la ville complétera plus largement la liste.

    Fut un temps, les électriciens de la ville se chargeaient de leur entretien. Désormais, celui-ci laisse plus qu'à désirer. Peut-être est-ce une politique volontaire pour justifier le remplacement à terme de ces feux par des ronds-points ? Ce ne sera pas possible à moins de pousser à l'extrême la démarche de développement des "zones de rencontre" déjà tant décriée.

    Alors, un dernier effort monsieur le maire, pour mieux assurer la sécurité de nos administrés ! En suivant au mieux cette dernière action, l'adjoint en charge de la voirie pourrait nous donner une joie sans pareille... mais sans égal à celle de la reprise…

     

    Bonne rentrée à toutes et à tous !

     

    Daniel DEBUS

    http://www.pourpoissy.fr


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  • A Poissy, les bonnes résolutions de 2012 ne durent qu'un temps.

     

    Celles du maire de Poissy ont duré jusqu'au 8 février - 22h00. L'éditorial du Pisciacais de Janvier laissait pourtant entrevoir une révolution de la transparence. Révolution car la pratique en Conseil municipal démontrait jusqu'à lors un manque flagrant, sur les réponses apportées aux questions écrites en particulier.

     

    Cette fois, les réponses ont été inexistantes, en rejettant même le caractère de question "non comprise(s)" et prétextant les termes "abscons" du courrier daté du 6 décembre dernier qui était pourtant clair(e)s :

     

    - l'inscription sur les listes électorales de nos élus pisciacais était-elle valable ? Différents emails, dont le maire était destinataire, comme les autres élus de la majorité, ne laissaient aucun doute : la fourniture du dernier relevé de taxe foncière ou d'habitation (pour les non-propriétaires) était demandée, afin de faire taire les rumeurs.

     

    - les textes sur lesquels monsieur le Maire se basait pour exclure des commissions permanentes le conseiller sortant de la majorité.

     

    Ce manque patent de transparence semble démontrer sa difficulté à asseoir ses décisions et pratiques sur une base légale claire, renvoyant voire reprochant à l'autre ses propres viscissitudes de flou et d'imprécision.

     

    Une démonstration que l'hopital se fout de la charité, qui plus est en écrivant que l'élu n'est que simple conseiller et non pas maire (!). Sa lecture des courriers, ou celle de son nouveau directeur de cabinet, directement issu de la rue de Solférino selon nos informations, est donc bien particulière et volontairement tronquée et orientée. Auraient-il oublié que quel que soit son rôle, l'élu est tenu de rendre compte de son action ? Est-ce la vision "socialiste" ou est-ce la seule vision locale ?

     

    Une fois de plus, en s'asseyant sur la transparence, on s'asseoit sur la République. La démocratie est et reste bafouée à Poissy. Pas étonnant que les rumeurs courent, la fumée ne serait donc pas sans feu...!  

     

    Evidemment, l'affaire ne va pas s'arrêter là. Avec notre ami Yann Merel, la démarche entreprise va continuer, jusqu'au bout.

     

    Le cas "Rama Yade" de Poissy va faire parler de lui.

      

    Daniel DEBUS

    Président de POUR Poissy


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  • En complément du précédent article

    Comme annoncé, la demande a été faite au Maire de procéder à vérification, par lettre avec accusé de réception, de l'inscription sur les listes électorales de Poissy de l'ensemble de nos élus pisciacais. Sur le principe, il ne s'agit pas de viser quelqu'un en particulier, mais d'en avoir le coeur net. Quoi de plus simple pour faire taire cette rumeur, ces rumeurs, puisque plusieurs personnes seraient concernées, que de traiter le sujet à la racine.

     

    Dans la foulée, pour aider notre premier édile, un email circulaire a été envoyé à l'ensemble des élus - majoritaires, puisque les minoritaires n'ont pas (tous) d'adresse au nom de la ville malgré des demandes répétées, restées lettres mortes. Cet email indiquait la démarche suivie et la demande de produire une copie d'un relevé de taxes locales, en bon esprit de transparence.

     

    Une des réponses reçues a été de dire "la carte d'électeur suffira"... Non, puisque c'est la véracité de l'inscription sur liste qui doit être vérifiée.

     

    A moins de reconnaître qu'il y ait deux poids deux mesures dans notre République et que ce qui serait applicable dans la commune de Colombes ne le serait pas dans celle de Poissy...? Ce ne serait pas acceptable, d'autant que leur obédience politique est commune.

    La transparence est une exigence incontournable.

      

      


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  • POISSY - RAMA

     

    L'affaire Rama Yade fait décidemment des vagues et ne finit pas d'en faire !

     

    Que vient faire cette figure politique nationale à Poissy ? Rien pour le moment, mais sait-on jamais... Ce serait plutôt sa carrière locale - à Colombes - qui en laisse pantois plus d'un, elle y compris.

    Elue municipale de Colombes et candidate aux législatives dans la circonscription d'Asnières-Colombes-sud (Hauts-de-Seine), elle a dénoncé, hier mardi 24 janvier, une coalition des pouvoirs locaux UMPS pour empêcher sa candidature. La veille, l'ancienne secrétaire d'Etat aux droits de l'homme avait vu sa demande de réinscription sur les listes électorales de la ville rejetée par le tribunal d'instance de Colombes.

      

    Ceci ne lui interdit toutefois pas de poursuivre sa campagne électorale.

     

    Mais revenons-en à Poissy : notre ami "insoumis", Yann MEREL, a mis le doigt sur le sujet, en demandant au Préfet de faire taire les rumeurs qui courent dans la cité de Saint-Louis : entre les élus qui n'habitent pas la ville, certains n'auraient même plus de taxes locales à y payer, se montrant potentiellement dans le même cas que "Rama".

     

    Sans compter que certains patronymes indiqués ne seraient pas les officiels...

     

    Alors, sur le principe, ce n'est pas au Préfet EN PREMIER LIEU de faire le contrôle, c'est au Maire de la ville, premier édile et donc premier concerné.

     

    Il parait donc judicieux de lui faire la demande par écrit, ce qui sera fait d'ici fin de la semaine puisque j'ai été interpellé par un concitoyen afin de savoir qui - au sein du conseil municipal - serait dans l'un ou l'autre cas de figure mentionné. Il faut espérer que la fumée n'ait pas de feu, ou sinon il faudra en tirer toutes les conséquences.

     

    Affaire à suivre !

     


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